29 avril 2007
puissances Aphrodites
« Foutre et crachats s’osmosent et maculent sa peau
Sa gorge respire encore de strangulations
Elle est seule dans la chambre à dresser ce tableau
La nuit l’a fait voiler son corps vagabond
Sur le flux de ses hanches se baladent les odeurs
De jouissances interdites d’hommes et de femmes aimants
Sur le flux de ses hanches se déroulent les horreurs
De puissances Aphrodites tirées à bout portant
Elle est blanche, recueillie sur ce tapis de roses
Effeuillées, liquéfiées ; elle a trouvé la paix
Après les convulsions, après ce qu’ils arrosent
Elle a trouvé le souffle expulsant l’ennemi
Elle s’est donné la paix dans le dernier retrait
Sacrifiant de quitter l’autel de sa lie »